J’ai tué Maurice Thorez, la pièce
J’ai tué Maurice Thorez !
Une pièce de Gilles Ascaride
Mise en scène par Serge Valletti
Avec Gérard Andréani et Gilles Ascaride
Comédie tragique contemporaine
Un homme d’une bonne soixantaine d’années se retrouve devant un juge.
Il demande à être jugé et surtout condamné avec la plus grande sévérité. Il s’accuse d’être un criminel. Son crime ? Avoir tué Maurice Thorez, secrétaire général du Parti Communiste Français de 1930 à 1964. A priori ce n’est pas possible puisque le dirigeant communiste est mort subitement et de sa « belle mort », à bord d’un paquebot de croisière soviétique en Méditerranée.
A-t-il affaire à un mythomane, un fou furieux, un illuminé ou un véritable assassin ?
L’échange va s’établir entre le récit d’un assassin improbable et un juge partagé entre amusement, stupéfaction et curiosité.
Ce récit loufoque et fantaisiste nous plonge dans un Marseille des années soixante et dans une ambiance politico-comico-sociale en forme de farce truculente.
Gilles Ascaride, autre membre du clan des Ascaride, comédien et également auteur, interprète avec son compère Gérard Andréani cette fable avec sa verve toute marseillaise.
Ce spectacle a été « coup de cœur » du journal La Provence et classé parmi les 25 meilleurs spectacles du Off 2013 (sur 1283) par LE BRUIT DU OFF, quotidien en ligne des festivals d’Avignon.
Revue de presse
On sourit, on rit, on s’esclaffe, on s’émeut, on s’attendrit de la petite histoire dans la grande. Ascaride, omniprésent, nous tient en haleine de bout en bout. Allez-y, Gilles Ascaride est énorme !
C.Gz- La Provence
Avec « J’ai tué maurice Thorez ! » Gilles Ascaride et Serge Valletti proposent une fable loufoque empreinte d’humanisme où la faucille se moque gentiment du marteau »
Jack Dion – Marianne
Il ne faut pas rater cette pièce iconoclaste, fantaisiste, d’un humour vivifiant, parfois tendre et touchante, qui nous tient en haleine de bout en bout jusqu’au rebondissement final.
Jean-Louis Blanc – Le bruit du off
La galéjade à ce niveau-là, c’est de l’art !
Gilles Costaz – Politis